30 septembre 2007
Zeno, le petit robot
gadget
Source: PC Mag, début du mois.
David Hanson, déjà developpeur de la tête robotisée d'Albert Einstein, a récemment proposé un prototype de robot de ... conversation. Son nom: Zeno.
43 centimètres, 20 kilos, Zeno a été vu pour la première fois à la Wired Nextfest de Los Angeles la semaine passée. Malgré le fait qu'il soit encore à deux ans d'une possible commercialisation, les experts sont formels: c'est de la boulette. Zeno peut marcher, parler et exprimer ses émotions.
Contrairement à la tête d'Einstein, Zeno a une vraie tête de cartoon, il ressemble à un jouet comme on peut voir sur les photos du site officiel. Pourtant, 12 petits moteurs contrôlent ses expressions faciales et 18 contrôlent les mouvements du corps. Derrière un des yeux, une caméra pour la reconnaissance des visages. Et la principale différence avec la majorité des autres robots, c'est le fait que son intelligence réside à l'extérieur de son corps. En effet, le prototype est connecté à deux ordinateurs: l'un pour calculer les mouvements, l'autre pour prévoir les réactions.
La version finale sera vraisemblablement connectée en WiFi à un seul PC sous Windows. Hanson explique que le logiciel de Zeno agit comme un cerveau physique et lui donne la possibilité de contrôler ses mouvements et réflexes avec une conscience spéciale, y compris la particularité de suivre des yeux une personne dans une pièce. Garder un contact visuel avec son interlocuteur.
43 centimètres, 20 kilos, Zeno a été vu pour la première fois à la Wired Nextfest de Los Angeles la semaine passée. Malgré le fait qu'il soit encore à deux ans d'une possible commercialisation, les experts sont formels: c'est de la boulette. Zeno peut marcher, parler et exprimer ses émotions.
Contrairement à la tête d'Einstein, Zeno a une vraie tête de cartoon, il ressemble à un jouet comme on peut voir sur les photos du site officiel. Pourtant, 12 petits moteurs contrôlent ses expressions faciales et 18 contrôlent les mouvements du corps. Derrière un des yeux, une caméra pour la reconnaissance des visages. Et la principale différence avec la majorité des autres robots, c'est le fait que son intelligence réside à l'extérieur de son corps. En effet, le prototype est connecté à deux ordinateurs: l'un pour calculer les mouvements, l'autre pour prévoir les réactions.
La version finale sera vraisemblablement connectée en WiFi à un seul PC sous Windows. Hanson explique que le logiciel de Zeno agit comme un cerveau physique et lui donne la possibilité de contrôler ses mouvements et réflexes avec une conscience spéciale, y compris la particularité de suivre des yeux une personne dans une pièce. Garder un contact visuel avec son interlocuteur.
Source: PC Mag, début du mois.
Libellés : gadget
22 septembre 2007
200 !!
Deux cents billets et presque deux ans d'existence... Auto-congratulation, prends-moi dans tes bras, tape amicale et tous nos bravos. Super et c'est l'occasion, comme nous l'avions fait lors de la centième, de revenir sur les 10 billets les plus visités:
Numéro 10: Record de vitesse sur Internet. Des américains ont joué une grosse, très grosse vidéo, en streaming parfait sur la toile. L'équivalent de 6 DVDs par minute! Numéro 9: Correcteur de flou sur photos. Des canadiens ont développé une technique de traitement d'image qui permet de retirer le flou qui résulte d'un tremblement pendant la prise de la photo. Numéro 8: présentation du Tomtom Go 910 et de son fils, le Go 720. Des systèmes de navigation portables qui ont tout pour eux, sauf peut-être le prix.
Numéro 7: BumpTop, le bureau virtuel pour votre ordinateur où vous pouvez foutre le boxon comme sur votre vrai bureau. Et puis tout ranger en un seul clic! Numéro 6: Tatyana Simanava, LE billet hors-sujet du site. C'est un des plus visités, on est à deux doigts de tourner people. Numéro 5: Loudness War. Un billet récent qui explique pourquoi un bon Green Day nous soûle plus vite qu'un bon Pink Ffloyd.
Numéro 4: l'espion qui squattait mon clavier. Un long-métrage américain avec John Jitterbug. Numéro 3: le plugin qui rend beau. Il n'y a pas de moches, il n'y a que des photos ratées et cet algorithme d'embellissement numérique va vous aider. Numéro 2: les voix pour GPS. C'est pas pour se moquer mais pour donner un exemple de FBI. La FBI, prononcer Ef-Bii-Aïe, c'est la Fausse Bonne Idée. Et NavX est la FBI par excellence, contrairement à d'autres services gratuits comme TomtomHeaven.
Numéro 1: Les sonneries GSM inaudibles pour les vieux. LA porte d'entrée du site avec plus de 30,000 visiteurs, ce billet est devenu par la force des choses un test de Jouvence pour vos oreilles.
Numéro 10: Record de vitesse sur Internet. Des américains ont joué une grosse, très grosse vidéo, en streaming parfait sur la toile. L'équivalent de 6 DVDs par minute! Numéro 9: Correcteur de flou sur photos. Des canadiens ont développé une technique de traitement d'image qui permet de retirer le flou qui résulte d'un tremblement pendant la prise de la photo. Numéro 8: présentation du Tomtom Go 910 et de son fils, le Go 720. Des systèmes de navigation portables qui ont tout pour eux, sauf peut-être le prix.
Numéro 7: BumpTop, le bureau virtuel pour votre ordinateur où vous pouvez foutre le boxon comme sur votre vrai bureau. Et puis tout ranger en un seul clic! Numéro 6: Tatyana Simanava, LE billet hors-sujet du site. C'est un des plus visités, on est à deux doigts de tourner people. Numéro 5: Loudness War. Un billet récent qui explique pourquoi un bon Green Day nous soûle plus vite qu'un bon Pink Ffloyd.
Numéro 4: l'espion qui squattait mon clavier. Un long-métrage américain avec John Jitterbug. Numéro 3: le plugin qui rend beau. Il n'y a pas de moches, il n'y a que des photos ratées et cet algorithme d'embellissement numérique va vous aider. Numéro 2: les voix pour GPS. C'est pas pour se moquer mais pour donner un exemple de FBI. La FBI, prononcer Ef-Bii-Aïe, c'est la Fausse Bonne Idée. Et NavX est la FBI par excellence, contrairement à d'autres services gratuits comme TomtomHeaven.
Numéro 1: Les sonneries GSM inaudibles pour les vieux. LA porte d'entrée du site avec plus de 30,000 visiteurs, ce billet est devenu par la force des choses un test de Jouvence pour vos oreilles.
Libellés : anecdote
20 septembre 2007
Projeter facilement sur des surfaces courbes
exploits
Le système superpose les images avec une précision au pixel, créant des projections parfaitement synchronisées sur n'importe qu'elle surface. La calibration logicielle est d'abord effectuée à l'aide de données sur la géométrie de l'écran et le nombre de projecteurs, ainsi que leurs position et alignement. Des caméras numériques enregistrent alors la position des images sur l'écran tandis qu'un algorithme de reconnaissance d'image calcule la distorsion nécessaire pour une projection parfaite.
Showplayer peut être utilisé pour contrôler n'importe quel type de projo, n'importe quel type de média (films, bannières, lives, ...) et peut même être combiné à d'autres appareils tels que ... une machine à brouillard !
Source: Fraunhofer, fin du mois d'août.
Des chercheurs de l'organisme de recherche allemand Fraunhofer ont développé Showplayer, un nouveau système logiciel qui calibre automatiquement les projecteurs vidéo de manière à ce qu'ils puissent envoyer correctement une image sur une surface courbe. Moyennant, cependant, une phase complexe de calibration.
Le système superpose les images avec une précision au pixel, créant des projections parfaitement synchronisées sur n'importe qu'elle surface. La calibration logicielle est d'abord effectuée à l'aide de données sur la géométrie de l'écran et le nombre de projecteurs, ainsi que leurs position et alignement. Des caméras numériques enregistrent alors la position des images sur l'écran tandis qu'un algorithme de reconnaissance d'image calcule la distorsion nécessaire pour une projection parfaite.
Showplayer peut être utilisé pour contrôler n'importe quel type de projo, n'importe quel type de média (films, bannières, lives, ...) et peut même être combiné à d'autres appareils tels que ... une machine à brouillard !
Source: Fraunhofer, fin du mois d'août.
Libellés : exploits
19 septembre 2007
Voleur de couleur! Rendez-moi ma couleur!
informatique
Gratuit! Free! Uniek! Un testeur de code de couleur à domicile:
Ecrivez dans la case ci-dessous la valeur hexadécimale d'une couleur (exemple: #7F458A) ou un nom de couleur au sens HTML (exemple: yellow) et hop, la couleur correspondante apparaît.
Voilà c'est tout con mais toujours utile :)
Ecrivez dans la case ci-dessous la valeur hexadécimale d'une couleur (exemple: #7F458A) ou un nom de couleur au sens HTML (exemple: yellow) et hop, la couleur correspondante apparaît.
Voilà c'est tout con mais toujours utile :)
Libellés : informatique
17 septembre 2007
Le grand méchant botnet
informatique
Source: InformationWeek, la semaine passée.
Une machine zombie, nous dit notre ami wiki, est un ordinateur contrôlé à l'insu de son utilisateur par un pirate informatique. Celui-ci l'utilise alors le plus souvent à des fins malveillantes, par exemple pour attaquer d'autres machines en dissimulant sa véritable identité. Un zombie est souvent infesté à l'origine par un virus, ver ou cheval de Troie.
Un réseau de machines zombies peut être constitué et contrôlé afin d'obtenir une capacité considérable. Des armées de zombies sont utilisées dans les attaques de type déni de service, vol de cartes banquaires ou envoi de spam. Certains groupes de crackers en contrôlent plusieurs centaines de milliers au sein de réseaux appellés botnets. Ces botnets sont plus à l'avantage d'organisations mafieuses que de pirates isolés, ou peuvent être même loués à des tiers peu scrupuleux.
Storm Worm, baptisé ainsi par la société d'anti-virus F-secure, est un cheval de Troie qui affecte les systèmes Windows. Découvert le 17 janvier de cette année, on le reconnait grâce à son chouette petit nom de process: Small.dam. Utilisant l'actualité de l'époque (les tempêtes en Europe), il a commencé à infecter des milliers d'ordinateurs européens et américains. Peut-être le vôtre. Bouuuuh...
Hum. InformationWeek fait le point à la rentrée: Storm Worm a tellement grandi qu'il pourrait facilement surpasser les meilleurs super-ordinateurs dans le monde. Les estimations sur sa taille varient (jusqu'à 50 millions d'ordinateurs) mais la plupart des chercheurs s'accordent à dire que c'est le grid le plus étendu que l'on n'ait jamais vu et qu'il pourrait faire très mal. Certains pensent qu'il est utilisé actuellement à 10% de ses capacités seulement.
Les cyber-criminels qui contrôlent le botnet possèdent assez de puissance destructrice pour endommager sociétés, agences gouvernementales, centres financiers ou institutions publiques via une attaque DoS similaire à celle qui a frappé l'Estonie en début d'année. De plus, le Storm Worm a été programmé pour lancer une attaque DoS distribuée à l'encontre des ordinateurs qui scanneraient malwares ou autres failles, ceux des organisations anti-spam et même ceux de particuliers qui essaieraient de l'étudier...
Un réseau de machines zombies peut être constitué et contrôlé afin d'obtenir une capacité considérable. Des armées de zombies sont utilisées dans les attaques de type déni de service, vol de cartes banquaires ou envoi de spam. Certains groupes de crackers en contrôlent plusieurs centaines de milliers au sein de réseaux appellés botnets. Ces botnets sont plus à l'avantage d'organisations mafieuses que de pirates isolés, ou peuvent être même loués à des tiers peu scrupuleux.
Storm Worm, baptisé ainsi par la société d'anti-virus F-secure, est un cheval de Troie qui affecte les systèmes Windows. Découvert le 17 janvier de cette année, on le reconnait grâce à son chouette petit nom de process: Small.dam. Utilisant l'actualité de l'époque (les tempêtes en Europe), il a commencé à infecter des milliers d'ordinateurs européens et américains. Peut-être le vôtre. Bouuuuh...
Hum. InformationWeek fait le point à la rentrée: Storm Worm a tellement grandi qu'il pourrait facilement surpasser les meilleurs super-ordinateurs dans le monde. Les estimations sur sa taille varient (jusqu'à 50 millions d'ordinateurs) mais la plupart des chercheurs s'accordent à dire que c'est le grid le plus étendu que l'on n'ait jamais vu et qu'il pourrait faire très mal. Certains pensent qu'il est utilisé actuellement à 10% de ses capacités seulement.
Les cyber-criminels qui contrôlent le botnet possèdent assez de puissance destructrice pour endommager sociétés, agences gouvernementales, centres financiers ou institutions publiques via une attaque DoS similaire à celle qui a frappé l'Estonie en début d'année. De plus, le Storm Worm a été programmé pour lancer une attaque DoS distribuée à l'encontre des ordinateurs qui scanneraient malwares ou autres failles, ceux des organisations anti-spam et même ceux de particuliers qui essaieraient de l'étudier...
Source: InformationWeek, la semaine passée.
Libellés : informatique
14 septembre 2007
Photoshopé ou pas ?
informatique
Il n'est bien sûr pas possible de certifier que l'image est réelle mais on peut appliquer une batterie de tests qui peuvent quasiment prouver que l'image est fausse. L'ordinateur apprend simplement à identifier les subtiles imperfections que ne peut voir un oeil non-exercé: la géométrie, les effets de lumière ou de la physique moderne (dont on ne peut vraiment plus se passer).
Certains tests vérifient par exemple la réflection de la lumière dans les yeux des personnes et ainsi trianguler (!!) l'emplacement du flash. Si cette analyse montre que l'appareil se trouvait à différents endroits, la photo est fausse. Farid a déjà testé son logiciel dans une vigtaine de cas judiciaires où la plupart du temps, les accusations de fraude n'étaient pas fondées!
Source: Christian Science Monitor, fin août.
Comme on peut le voir ci-dessous (ou pas), les logiciels de manipulation d'images deviennent de plus en plus faciles à utiliser, plus sophistiqués et il est donc plus difficile de déceler leur passage. Mais Hany Farid, professeur en informatique à l'Université de Dartmouth , a développé un algorithme qui teste la véracité des photos en repérant les mini-défauts.
Il n'est bien sûr pas possible de certifier que l'image est réelle mais on peut appliquer une batterie de tests qui peuvent quasiment prouver que l'image est fausse. L'ordinateur apprend simplement à identifier les subtiles imperfections que ne peut voir un oeil non-exercé: la géométrie, les effets de lumière ou de la physique moderne (dont on ne peut vraiment plus se passer).
Certains tests vérifient par exemple la réflection de la lumière dans les yeux des personnes et ainsi trianguler (!!) l'emplacement du flash. Si cette analyse montre que l'appareil se trouvait à différents endroits, la photo est fausse. Farid a déjà testé son logiciel dans une vigtaine de cas judiciaires où la plupart du temps, les accusations de fraude n'étaient pas fondées!
Source: Christian Science Monitor, fin août.
Libellés : informatique
12 septembre 2007
Redimensionnement intelligent d'images
exploits
  
Source: Hacks, fin du mois d'août.
Lors de la conférence SIGGRAPH de cette année, Ariel Shamir and Shai Avidan ont présenté le seam carving, une technique de redimensionnement d'image qui prend en compte l'image elle-même.
Le redimensionnement est non-uniforme: il est en mesure de changer le ratio largeur/hauteur sans détruire les détails importants de l'image, comme par exemple les personnes. Sinon, on ressemble à Casimir et c'est marrant deux minutes.
L'algorithme détecte les "seam", c'est-à-dire les chemins de pixels à énergie basse ... bref, des chemins horizontaux et verticaux qui circulent dans l'image. Lors du redimensionnement, les pixels le long de ces seams sont étirés ou enlevés, laissant le reste de l'image intact. On peut aussi manuellement spécifier les zones de l'image qui doivent rester inchangées. La fonction de génération de seams va négocier autour de ces zones. Regardez plutôt la vidéo, c'est plus simple. Et il existe déjà un plugin fonctionnel pour Gimp mais peut mieux faire sur les photos de vacance:
Le redimensionnement est non-uniforme: il est en mesure de changer le ratio largeur/hauteur sans détruire les détails importants de l'image, comme par exemple les personnes. Sinon, on ressemble à Casimir et c'est marrant deux minutes.
L'algorithme détecte les "seam", c'est-à-dire les chemins de pixels à énergie basse ... bref, des chemins horizontaux et verticaux qui circulent dans l'image. Lors du redimensionnement, les pixels le long de ces seams sont étirés ou enlevés, laissant le reste de l'image intact. On peut aussi manuellement spécifier les zones de l'image qui doivent rester inchangées. La fonction de génération de seams va négocier autour de ces zones. Regardez plutôt la vidéo, c'est plus simple. Et il existe déjà un plugin fonctionnel pour Gimp mais peut mieux faire sur les photos de vacance:
  
Source: Hacks, fin du mois d'août.
Libellés : exploits
Le véhicule hybride rechargeable de Toyota
écologie
Le système présenté, le véhicule hybride rechargeable, allie les avantages des biocarburants et ceux des véhicules électriques: sur de courtes distances, l’hybride rechargeable fait appel à un moteur électrique mais il peut au besoin bénéficier de l’appoint du moteur a essence, par exemple pour de fortes accélérations.
Puisque ce système repose sur la technologie hybride déjà testée sur le marché, l’autonomie n’est pas un problème et il n’a donc pas besoin de grosses batteries, les coûts restent bas et la recharge s’effectue très simplement en le branchant sur une prise de courant domestique. L’hybride rechargeable possède plusieurs atouts majeurs : il contribue à réduire le dioxyde de carbone et à préserver le pétrole. Par exemple, sur un parcours quotidien de 25 km et même comparativement à une voiture hybride, l'hybride rechargeable pourrait réduire de 34 % les émissions de CO².
Il faudra mettre sur pied un systéme de paiement pour les recharges effectuées à partir d’une infrastructure publique. Comme cette nouvelle borne de recharge EDF est équipée de la technologie PLC (Power Line Communication), le véhicule doit aussi en être muni pour utiliser ce protocole de communication: c’est notamment l’objet d’un développement conjoint de Toyota et d’EDF.
L'évaluation débutera en France dans un premier temps, puis sera potentiellement étdendu à d'autres pays européens.
Source: la lettre électronique du réseau EDF, n°63 (septembre 2007)
Dans le cadre du développement d’un véhicule hybride rechargeable, Toyota a mis sur pied un projet en coopération avec EDF afin d’étudier la promotion de ce type de véhicule. Le constructeur semble en effet s'impliquer dans le développement et la démocratisation des véhicules hybrides depuis le lancement de la Prius en 1997, vendues à plus d'un million d'exemplaires dans le monde.
Le système présenté, le véhicule hybride rechargeable, allie les avantages des biocarburants et ceux des véhicules électriques: sur de courtes distances, l’hybride rechargeable fait appel à un moteur électrique mais il peut au besoin bénéficier de l’appoint du moteur a essence, par exemple pour de fortes accélérations.
Puisque ce système repose sur la technologie hybride déjà testée sur le marché, l’autonomie n’est pas un problème et il n’a donc pas besoin de grosses batteries, les coûts restent bas et la recharge s’effectue très simplement en le branchant sur une prise de courant domestique. L’hybride rechargeable possède plusieurs atouts majeurs : il contribue à réduire le dioxyde de carbone et à préserver le pétrole. Par exemple, sur un parcours quotidien de 25 km et même comparativement à une voiture hybride, l'hybride rechargeable pourrait réduire de 34 % les émissions de CO².
Il faudra mettre sur pied un systéme de paiement pour les recharges effectuées à partir d’une infrastructure publique. Comme cette nouvelle borne de recharge EDF est équipée de la technologie PLC (Power Line Communication), le véhicule doit aussi en être muni pour utiliser ce protocole de communication: c’est notamment l’objet d’un développement conjoint de Toyota et d’EDF.
L'évaluation débutera en France dans un premier temps, puis sera potentiellement étdendu à d'autres pays européens.
Source: la lettre électronique du réseau EDF, n°63 (septembre 2007)
Libellés : ecologie
11 septembre 2007
Des balladeurs vidéo qui consomment 66% moins
découvertes
Source: Technology Review, début du mois.
Augmenter le temps de vie des batteries des appareils portables, ça devient un peu le challenge de ce début de siècle. D'autant plus que la plupart de ces appareils sont capables dorénavant de lire les vidéos. Une activité qui consomme beaucoup plus que la lecture de musique mp3.
Des chercheurs de l'Université de Maryland ont mis au point une technique qui permet de réduire la consommation de 66% lors de la lecture de vidéos. Gang Qu, un de ces développeurs, explique que les utilisateurs peuvent tolérer, on le savait déjà, quelques erreurs, quelques ratés dans les applications multimédias. En réalité, on ne les remarque même pas!
Un lecteur vidéo numérique classique lit à une vitesse de 30 images par seconde alors que les films plus anciens, au cinéma, en comportaient seulement 24, soit environ 80%. Si le lecteur est capable d'assurer ces 80%, l'être humain ne verra pas la différence.
Le temps de décodage d'une vidéo numérique peut varier d'une image à l'autre, c'est pourquoi les systèmes multimédia sont désignés pour décoder rapidement même l'image la plus difficile, histoire de l'afficher sans retard aucun. Mais Mr Qu et ses collègues ont écrit un algorithme qui établit une série de temps limites sur le processus de décodage. Si la limite est dépassée, le décodage est annulé et allez hop, on passe à l'image suivante. En utilisant des statistiques sur la longueur de tâches spécifiques, les chercheurs peuvent ajuster le bazar pour garantir un taux d'images réellement décodées.
Des chercheurs de l'Université de Maryland ont mis au point une technique qui permet de réduire la consommation de 66% lors de la lecture de vidéos. Gang Qu, un de ces développeurs, explique que les utilisateurs peuvent tolérer, on le savait déjà, quelques erreurs, quelques ratés dans les applications multimédias. En réalité, on ne les remarque même pas!
Un lecteur vidéo numérique classique lit à une vitesse de 30 images par seconde alors que les films plus anciens, au cinéma, en comportaient seulement 24, soit environ 80%. Si le lecteur est capable d'assurer ces 80%, l'être humain ne verra pas la différence.
Le temps de décodage d'une vidéo numérique peut varier d'une image à l'autre, c'est pourquoi les systèmes multimédia sont désignés pour décoder rapidement même l'image la plus difficile, histoire de l'afficher sans retard aucun. Mais Mr Qu et ses collègues ont écrit un algorithme qui établit une série de temps limites sur le processus de décodage. Si la limite est dépassée, le décodage est annulé et allez hop, on passe à l'image suivante. En utilisant des statistiques sur la longueur de tâches spécifiques, les chercheurs peuvent ajuster le bazar pour garantir un taux d'images réellement décodées.
Source: Technology Review, début du mois.
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